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harcèlement moral; violence psychologique; pervers narcissique; - Page 2

  • Oxygène

    Jeudi 17/11/11 soir

    A table, j'apprends de manière détournée - en fait, PN s'adresse aux enfants - que PN ne sera pas là ce week-end. Il fera du char à voile au Touquet avec ses collègues dans le cadre d'un séminaire. Puis du 5 au 12/12/11, il sera une semaine en Allemagne au siège de sa boîte, et accessoirement dans la ville de résidence de sa maîtressse allemande.

  • PN et mon amie d'enfance

    Samedi 12/11/11

    Je viens d'en apprendre une bonne, mais alors très bonne qui m'a mise sur le cul ! Passez-moi l'expression.

    Cela fait des mois que je n'ai pas été en contact avec Pat, mon amie d'enfance, qui est réunionnaise. Cela fait 30 ans que nous nous connaissons. Dans ma situation, j'ai tendance à me renfermer sur moi-même et pas trop contacter des amis que j'aime pourtant. Pat, qui était présente à mon mariage et connaît PN depuis le début de ma relation avec lui, est au courant de ma situation actuelle, de la maîtresse, des violences psychologiques mais pas de la suite : les violences sur l'Aînée, le commissariat, la demande de divorce, le départ pour Rennes, etc.

    téléphone_homme 2.jpg

    Ce samedi soir, PN le passe chez IR. Je suis tranquille pour enfin prendre des nouvelles de mon amie d'enfance. Mon téléphone sans fil est cassé et je ne veux pas bavarder avec des proches en présence de PN. (Pour information, IR est - était - mon amie depuis 2 ans seulement.)

    Pat m'apprend dès le début de la conversation que PN lui a téléphoné il y a 3 semaines !

    Je suis sur le cul ! Non, il n'a pas fait ça ! Après avoir téléphoné à ma mère en mai dernier (je recherche la page pour mettre un lien mais je ne la retrouve plus !), voilà qu'il fait le tour de mes amies. Je comprends maintenant toutes ses allusions des dernières semaines sur les amies que je ne contacte plus, sur mes amis qui m'auraient tous abandonnée, sur mon prétendu isolement, etc.

    Je me rappelle maintenant un soir où, descendant dans le salon, je vois PN au téléphone qui raccroche d'un doigt sur l'appareil en me regardant. Je sais qu'il était resté très longuement au téléphone ce soir-là. J'avais questionné Jumeau qui était présent dans le salon en train de regarder le foot. Il m'avait même dit que PN parlait allemand pendant un moment. D'après moi, il appelait tous ses contacts - et les miens !!!- pour leur annoncer le divorce, à sa façon. Il a dû appeler son parrain, ses amis allemands et donc mon amie d'enfance.

    Moi à Pat : "Mais pourquoi tu ne m'a pas appelée aussitôt pour m'informer ?"

    Pat me dit qu'elle s'est sentie en porte-à-faux vis-à-vis de moi. Elle se sentait gênée que PN l'ait appelée. Elle m'a contactée une semaine plus tard, sans succès. Mais mon téléphone n'a jamais sonné, enfin peu m'importe car je connais très bien Pat, une personne plus que sincère.

     

    La conversation

    Pat me relate que PN lui a parlé de l'amitié, de la différence entre l'amitié entre les hommes et celles entre les femmes. Moi, je connais cela par coeur, il m'en parle tout le temps depuis des années, affirmant que celle des hommes était plus puissante, plus sincère, plus tenace. Il a dû la questionner sur le fait que nous n'avions plus de contacts. A cela, Pat qui est fine et intelligente, nuance en disant que les femmes, arrivées à un stade de leur vie, une fois devenues mères de famille, coincées entre le travail, la maison et les enfants, disposaient de moins de temps que les hommes pour entretenir leurs amitiés.

    A d'autres paroles de PN, dont elle ne se souvient plus, Pat a opposé qu'elle reste MON amie quoi qu'il arrive et quoi que PN lui dise. PN a acquiescé sans se fâcher.

    Pat me raconte que PN lui a annoncé que nous divorcions, que je me présentais comme une petite Sainte mais que ce n'était pas vrai. Qu'il souffrait énormément. Il lui a aussi parlé du commissariat, je ne sais pas s'il a mentionné la maîtresse, j'ai oublié de poser la question (mais elle était déjà au courant). Pat n'ayant pas bien entendu mais juste perçu le mot "commissariat", a pris peur.

    Elle a tout fait pour tempérer PN en allant dans son sens. Elle lui a dit que dans une séparation, les deux personnes sont fautives et que personne n'est tout noir ou tout blanc. Que si PN se sentait dépassé par des comportements trop violents, il fallait qu'il quitte la maison. Que cela ne valait pas la peine d'en arriver à un drame. PN lui a répondu qu'il avait payé principalement la maison et qu'il n'était pas question qu'il me laisse en profiter. Pat lui a dit qu'il fallait parfois être magnanime, ce à quoi PN a ricané. Pat m'a confié avoir pensé à ces hommes qui pètent les plombs et zigouillent toute leur famille. Elle a eu très peur pour moi et les enfants.

    Puis PN lui a aussi parlé de sa souffrance par rapport au décès de sa mère en 2000. Il est allé sur le terrain de Pat, qui a perdu sa mère un mois avant le décès de mon propre père, en septembre 2007. Pat, célibataire, entretenait une relation fusionnelle avec sa mère et lui vouait un amour infini, elle a encore beaucoup de mal à vivre après le décès de sa mère.

    Je vais aussi téléphoner à mon autre amie d'enfance Fati, l'Algérienne comme l'appelle PN, pour savoir si PN l'a contactée. Mais j'en doute puisqu'il ne connaît pas son nom de femme mariée. PN avait appelée Pat sur son fixe.

    C'est dans cette note du 29/10/11, que PN m'avait demandé pourquoi je ne contactais plus mes amies d'enfance, "la Réunionnaise" et "l'Algérienne".

     

     

  • RDV avec l'infirmière

    Mercredi 9/11/11

    Ce matin j'avais RDV avec le professeur principal de Jumelle afin de faire le point sur sa situation en vue de sa bonne intégration dans le futur collège. Nous discutons du projet d'accueil individualisé. Je rencontre ensuite l'infirmière de l'école pour parler du mutisme sélectif de Jumelle. L'entretien dure 2 heures durant lesquelles nous passons en revue toutes les solutions possibles de prise en charge. L'adjointe au CPE nous rejoint l'instant de parler de la nécessité de réaliser des attestations des professeurs. Je ne parle pas du tout de PN, j'évoque juste le divorce.

    Puis, alors que, debout près de la porte déjà ouverte, je prends congé de l'infirmière, qui m'avait dit que ce serait bien que ce soit PN qui emmène Jumelle voir un psy(chiatre) serait une bonne chose, et me pose la question de leur relation, je raconte l'anecdote de l'écharpe (ici).

    De fil en aiguille, je parle les violences subies à la maison et auxquelles les enfants assistent depuis des années. Je nomme les mots harcèlement moral, perversion narcissique. L'infirmière semble comprendre puisqu'elle-même me parle d'un cas rencontré où une personne passait son temps à pincer sa conjointe dans le lit, l'empêchant ainsi de dormir et la rendant épuisée, et ce, sans autre forme de violence physique ou verbale ! L'infirmière me recommande de ne pas rester seule, de voir un professionnel et surtout de noter les faits et déposer ma souffrance.

     

    Les mensonges de PN

    mensonge,harcèlement moral; violence psychologique; pervers narcissique;Au décours de la conversation, quand je lui dis que PN est venu rencontrer l'adjointe au CPE et des membres de l'équipe du collège, l'infirmière rectifie : C'est l'assistante sociale, suite à mon entrevue avec l'école, qui a téléphoné par erreur à PN pour fixer un RDV, pensant faire mon numéro de portable. Mais comme PN a aussi l'autorité parentale, elle a maintenu sa demande. Ce n'est donc pas PN qui a pris RDV avec le collège de son propre chef !

    Deuxième mensonge. Pour le premier, ou plutôt le précédent, PN avait prétendu avoir contacté le commissariat, lequel lui aurait donné des informations sur mes venues. Puis il avait laissé échapper la vérité en disant qu'il avait dû s'y rendre à cause d'une amende. Là, il prétendait avoir entrepris des actions pour régler le problème de Jumelle et que je ne pouvais pas lui reprocher de ne pas s'occuper d'elle, alors qu'il avait été convoqué.

    Je comprends alors ses mots de l'avant-veille : "Ce que tu dis est un tissu de mensonges."

    A ce moment-là, c'était LUI qui mentait.

    PN continue d'agir en miroir et de reporter sur moi ses propres faits et attitudes. Je pense qu'il suffit d'écouter les reproches de PN pour savoir ce que LUI fait réellement. Finalement, c'est PN lui-même qui nous livre les clés.

    D'ailleurs l'infirmière s'interroge sur l'éventuelle conscience des PN de leurs comprtements et sur les preuves utilisables de violences psychologiques.


  • Maître ès harcèlement et perversion

    La semaine a été relativement calme, PN s'étant contenté de me harceler sans m'insulter et sans crier !


    WorkingGirl.jpgLe mercredi 2/11/11, j'étais censée être en congé - le dernier jour de congés - mais comme les 3 enfants avaient la journée complète à l'école, j'ai décidé d'aller travailler.

    Bien m'en a pris car j'avais énormément de boulot qui m'attendait et en plus, nous avons pu recruter un médecin ce jour-là. Sans compter des problèmes imprévus et assez compliqués à gérer. J'ai fait 10 heures de boulot, au lieu des 7h36 ! ;-) Je suis arrivée à la maison sur les rotules. Puis il a fallu prendre des nouvelles de la rentrée scolaire des enfants, faire à manger.

    Je ne communique toujours pas avec PN, mais j'ai juste dit aux enfants :

    "Maman est très fatiguée ! J'ai fait une grosse journée de travail."

    Le lendemain matin, je me suis réveillée 45 minutes en retard. Au petit-déjeûner, j'ai eu droit de la part de PN, comme quoi ça a bien ruminé dans sa tête durant toute la nuit :

    • "T'es une femme active ! Tu n'as le temps de rien faire ! Comment tu vas faire pour travailler et en même temps t'occuper des enfants, de la maison et tout ?"

    Je ne réponds pas.

    Pour m'embêter, PN n'a pu s'agripper qu'à cette unique phrase parlant de moi-même.

    Le reste du temps, je ne parle pas ou alors, c'est à propos de l'intendance ou de la pluie et du beau temps. Dès 2008 (ici), j'avais compris qu'il ne fallait rien livrer de personnel à PN, car cela se retournait inévitablement contre moi un jour ou l'autre.

    • Si je lui parlais de mes envies de mes espérances, de mes désirs, quelques temps plus tard il me les renvoyait en disant que je n'étais pas capable de les réaliser.
    • Si je lui confiais mes peurs, mes aigreurs, les choses que je n'aimais pas, cela me retournait à la figure en boomerang, car PN sait appuyer là où ça fait mal, en me mettant en face.
    • Si je lui relatais des anecdotes professionnelles avec des noms de mes supérieurs ou de mes collègues, PN les tournerait en dérision - comme il le fait avec les membres de ma famille - à un moment totalement hors contexte.

     

    Le jeudi 3/11/11, quelques piques que j'ai oubliées.

    Je crois que désormais, je les reçois en les analysant, comme si je le faisais pour écrire sur mon blog. Puis, je suis si dépitée par le niveau relationnel avec PN, cette méchanceté, cette bassesse. A J+1, je ne me souviens même plus de ses petites phrases assassines.

    Cela veut-il dire que cela me touche de moins en moins ?

     

    Vendredi 4/11/11

    Les piques fusent.

    Comme des tirs espacés. Ce n'est plus la mitraillette, mais PN a revêtu l'uniforme du SNIPER. PN tire (tente de tirer) quelques balles bien placées.

    sniper.jpg

    Je rentre encore tard à la maison, j'avais beaucoup de travail. Je découvre un SMS de Jumeau qui a utilisé le téléphone portable de ma voisine. Jumeau et jumelle sont chez elle, car Jumeau a perdu ses clés et Jumelle oublié les siennes à la maison. L'Aînée est chez sa copine.

    Arrivée à la maison à 18h30, j'apporte à ma voisine maghrébine des pâtisseries orientales. Elle sort les siennes et m'invite à prendre le thé. J'apprends que c'est l'Aïd ce week-end. Nous passons un très agréable moment avec son mari et leur fils, le copain des enfants. Nous discutons durant 1h30, confortablement installés dans le salon. Nous évoquons aussi notre prochain départ pour 6 mois. Vers 20h, PN m'appelle car il a aussi perdu les clés de la maison, décidément ! J'envoie Jumeau lui donner mes clés.

    Lorsque je rentre à la maison, PN me demande :

    • Tiens, tu n'es pas au restaurant chinois avec ton amie Ca (la femme de Pa, le copain adultérin de PN) ?  Bah oui ! Ca  est avec CP à l'Empire de Chine. Ce restaurant dégueulasse. Elles sont avec IR aussi."

    Il poursuit :

    • "Pourquoi tu n'es pas avec elles ? D'habitude, tu vas au restaurant une fois par mois avec tes copines ! Elles ne t'ont pas invitée ? Comme c'est bizarre."

    restaurant chinois.jpgEn fait, je viens de comprendre qu'il s'agit encore d'une phrase pour m'énerver, pour me provoquer. PN m'avait dit deux jours auparavant, le mercredi, que mon amie Ca déjeûnait au restaurant chinois et il me demandait pourquoi je n'allais pas manger avec elle. Je n'avais pas relevé cela et je pensais qu'elle y était vraiment puisque son mari est en contact régulier avec son grand copain PN. Mais je me disais que chacun faisait ce qu'il voulait. En même temps, elle n'est pas du genre à aller au restaurant un midi en semaine avec ses garçons. Mais à vrai dire, peu m'importait.

    En revanche, cette fois-ci j'ai saisi l'improbabilité de l'annonce de PN, car mon amie CP, qui n'a pas du tout le même style que IR, a toujours décliné les sorties que nous faisions avec IR, de plus elle connaît mon histoire et les trahisons de IR. 

    Encore cette problématique des amis qui l'obsède !!! PN rajoute, sur un ton de mise en garde :

    • "Tu t'isoles, Lola ! Attention, tu t'isoles !"
    • Moi : "Tes élucubrations ne m'intéressent pas."

    J'étais allée chercher l'Aînée et sa copine que j'ai autorisé à dormir à la maison. Pendant que je discute avec les filles, PN acquièce ou appuie mes paroles d'un ton très ironique :

    • "Ah oui ?"
    • "Tant que ça ?"
    • "Hum Hum !"
    • "Oh ! la la !"

    Insupportable ! PN ne cesse que me lancer des piques, l'air de rien, devant la copine de l'Aînée qui ne saisit pas les subtilités de la perversion du harcèlement moral. Ni mes enfants, d'ailleurs.

     PN lit le magazine du département et m'apostrophe :

    • "Hé Lola, tu te rends compte, nos élus partent en délégation au Japon pour tisser des relations commerciales et soutenir les victimes du tremblement de terre. C'est une évidence, il y a plein de boîtes nipponnes dans la zone commerciale derrière chez nous ! Quand je pense qu'il partent avec notre argent ! Avec nos impôts locaux. Que dis-je ? Avec MES impôts locaux ! N'est-ce pas, Lola ?"

    Explication : PN a en charge les impôts dans notre couple, mais il trouve que je dois payer au prorata de mon salaire.

    Puis il sort des courses qu'il a faites à Intermarché (deux bouteilles de vin rouge, des oranges, de fromage et du pain de mie ; en fait, ce que LUI mange)

    • PN décrète : "Les gâteaux de Carrefour (sic !) sont bons. Pas ceux de Liddl ou d'Aldi, c'est de la merde."
    • Moi : "Quand tu as acheté de la soupe en sachet d'Intermarché, elle était dégueulasse, je ne te l'ai jamais dit ! Je n'ai jamais relevé. Alors arrête maintenant. Tout ce que tu achètes, c'est bien et ce que je prends, c'est de la merde."

    L'aînée commence à prendre ma défense : "Arrête de dire ça à Maman ! Tu critiques tout ce qu'elle achète."

     

    A table

    PN est très excité. Il aime faire la conversation quand il y a du monde à la maison. Il pose énormément de questions à la copine de l'Aînée. Il s'intéresse à leur vie au collège, à leurs copains et copines, à leurs profs. Alors que dans leur dos, il les traite de dégénérées et d'incultes. Là, il est très copain avec elles. Il accapare la conversation, les enfants adorent, ils racontent pleins d'anecdotes et quelques blagues et bêtises, ils sont morts de rire.

    A un moment PN parle de sa nouvelle collègue de 21 ans, une secrétaire, qui vit en co-location avec une hôtesse de l'air. J'ai envie de lui balancer une remarque ironique à la figure, mais je me retiens.

     

    Après le repas

    Après le repas, les filles montent dans la chambre de l'Aînée. Je débarrasse la table, PN me donne un coup de main. PN continue de me provoquer sur plusieurs sujets. Il ne me lâche pas.

    Moi : "Ca suffit tes reproches continuelles." (le mot harcèlement n'arrive pas à sortir de ma bouche ! afin qu'il ne l'utilise pas contre moi, puisqu'il agit en miroir)

    PN : "Quoi ? Quoi ? Je t'embête ? Dis que tout ce que je dis ce n'est pas vrai ? Qu'est-ce que j'ai dit, hein ? Qu'est-ce que j'ai dit de faux ce soir ? Répond-moi, j'attends."

    Moi : "Ah non ! Tu ne vas pas recommencer ta comédie à m'ordonner de te répondre ! Avec tes "J'attends i J'attends ! J'attends la réponse " ou encore quand tu m'as collé le dictionnaire sous les yeux en m'ordonnant de lire à voix haute la définition du mot imposture."

    A ce moment-là les yeux de PN sont grand ouverts et étonnés ! Je me demande s'il s'en souvient vraiment, ou s'il était dans un état second. Ou s'il vient de se rappeler ce qu'il avait fait. En tout cas, cela lui parle. Il me dit ............. Je ne me rappelle plus ce qu'il m'a dit. Ca me reviendra.

    Quoiqu'il en soit, toute la force de PN réside dans ces mots. Il a tout compris. Il sait aussi que je l'enregistrais, grâce aux confessions de IR. Il ne dérape plus. Il n'insulte plus. Il maîtrise son discours. Il va dire des phrases tout à fait normales et anodines, mais sur un ton ironique, de façon répétitive, dans un contexte inapproprié, et avec plein de sous-entendus.

    PN excelle dans le harcèlement et la perversion. Qu'a-t-il dit de répréhensible ? ou de faux ?

    Il va continuer les jours suivants sur ce terrain-là !

     

    Devant la télé

    Télé.jpg

    Ce soir-là, PN nous colle sans arrêt.

    Je dispose les pâtisseries orientales et les loukoums sur la table basse en regardant la télé avec les enfants. On zappe sur les chaînes satellites entre séries et chansons, des trucs que PN n'aime pas, je le fais exprès pour qu'il s'en aille. On parle de sujets vraiment enfants et filles, genre maquillage, bêtises dans les cours de récré, etc. Mais PN trouve le moyen de faire des allers-retours entre la cuisine et le salon et d'intervenir sans cesse !

    J'ai vraiment l'impression que la présence de la copine de l'Aînée, qu'il a antérieurement traité d'idiote (devant l'Aînée et hors de la présence de l'intéressée), le galvanise et lui permet de faire sa comédie, de jouer le rôle du bon papa super sympa et qui s'intéresse aux jeunes.

     

    Les enfants sont couchés. PN déclare :

    • "A mon époque, je vois mal des garçons de 14 ans dormir ensemble. Je n'invitais pas mes copains à dormir à la maison dans le même lit que moi. Si ça se trouve, elles sont lesbiennes ! Elles font semblant d'être copines et elles sont lesbiennes !"

    C'est affligeant. Je ne relève pas.